Né en 1959, au Chili, dans Un pays en forme de poignard, telle une braise brûlante dans la poche. Patricio Sánchez Rojas a passé son enfance à Talca et à Valdivia, jusqu’à ce qu’en 1977, sa famille soit expulsée du pays et vienne s’installer à Paris. Naturalisé français en 1993, Patricio Sánchez Rojas a séjourné quelques années aux États-Unis. À son retour, il a enseigné l’espagnol en collège, au lycée et dans les universités de Nîmes, Avignon et Montpellier. Poète, enseignant, traducteur et animateur d’ateliers d’écriture, les poèmes de Patricio Sánchez Rojas  figurent dans diverses revues et anthologies françaises, hispanophones et italiennes. En 2014, il a participé au Festival Voix Vives de Toledo, la même année il a rejoint l’équipe des animateurs du Festival Voix Vives de Sète. Il est membre de la Maison de la poésie Jean Joubert de Montpellier.

À lire : Les Disparus (La rumeur libre, 2017), Journal d’une seconde (L'Harmattan, 2015), Terre de feu, suivi de Nuages (Domens, 2013), Le Parapluie rouge (Domens, 2011), Nuages (Obsidiane, 2008), Breve Antología Personal y otros poemas (Los Andes, 2000), Montpellier, trois minutes d’arrêt (Los Andes, 1996), Poèmes écrits dans un café (Imprimerie Université Paul-Valéry, 1991).

Publié(e) dans la revue Les Hommes sans épaules

Dossier : Poètes chiliens contemporains, le temps des brasiers n° 45